Aller directement au contenu.
critique & création culturelle
Artboard 1
MENU
Accueil
cinéma
scène
livres
musique
art & ko
La rédac
galerie
30 Derniers jours
Archives
Feuilletons
Dossiers
Karoo ?
Les Rédacteurs
Contact
S'abonner ?
critique & création culturelle
Retour en haut
Rédacteur
Matthias De Jonghe
http://revueprojections.wordpress.com/
Ses articles
Notes sur…
Inherent Vice (4)
Avec Inherent Vice, adaptation d’un roman éponyme de Thomas Pynchon, Paul Thomas Anderson ne livre pas seulement une œuvre complexe et formellement brillante, qui déjoue les codes du « film noir », il signe aussi, et peut-être surtout, un trompe-l’œil poignant. Matthias de Jonghe vous propose un dernier retour sur 2015 et évoque Inherent Vice…
par
Matthias De Jonghe
cinéma
Notes sur…
Inherent Vice (3)
Avec Inherent Vice, adaptation d’un roman éponyme de Thomas Pynchon, Paul Thomas Anderson ne livre pas seulement une œuvre complexe et formellement brillante, qui déjoue les codes du « film noir », il signe aussi, et peut-être surtout, un trompe-l’œil poignant. Matthias de Jonghe vous propose un dernier retour sur 2015 et évoque Inherent Vice…
par
Matthias De Jonghe
cinéma
Notes sur…
Inherent Vice (2)
Avec Inherent Vice, adaptation d’un roman éponyme de Thomas Pynchon, Paul Thomas Anderson ne livre pas seulement une œuvre complexe et formellement brillante, qui déjoue les codes du « film noir », il signe aussi, et peut-être surtout, un trompe-l’œil poignant. Matthias de Jonghe vous propose un dernier retour sur 2015 et évoque Inherent Vice…
par
Matthias De Jonghe
cinéma
Notes sur…
Inherent Vice (1)
Avec Inherent Vice, adaptation d’un roman éponyme de Thomas Pynchon, Paul Thomas Anderson ne livre pas seulement une œuvre complexe et formellement brillante, qui déjoue les codes du « film noir », il signe aussi, et peut-être surtout, un trompe-l’œil poignant. « Le temps bifurque perpétuellement vers d’innombrables futurs. » Borges, Le Jardin aux sentiers qui bifurquent…
par
Matthias De Jonghe
cinéma
This is your song (57)
David Bowie
Slow Burn
Je me souviens d’avoir beaucoup écouté Bowie à la fin de l’adolescence – des assemblages hétéroclites de titres glanés ici et là. Je me souviens de Reality en 2003 et de Fall Dog Bombs the Moon, que les Inrocks avaient repris sur une de leurs compilations – dont j’ai complètement oublié par ailleurs la composition.…
par
Matthias De Jonghe
musique
It Follows
De baise lasse
Après avoir filmé la tradition américaine du sleepover comme un rite de passage scellant l’entrée dans l’âge adulte (The Myth of the American Sleepover, 2010), David Robert Mitchell explore à nouveau les angoisses adolescentes et livre, avec It Follows, une œuvre puissante et érudite, qui conjugue élégamment — tout en les transgressant — les codes…
par
Matthias De Jonghe
cinéma
The Act of Killing
de Joshua Oppenheimer
Portrait du génocidaire
en artiste
Bien aidé par un Grand Prix du Jury glané à la dernière Mostra, The Look of Silence, le nouvel essai du documentariste américain Joshua Oppenheimer, devrait bénéficier d’une sortie en salles dans le courant de l’année ; en attendant, c’est sur son prédécesseur qu’il s’agit de se pencher ici. Même au beau…
par
Matthias De Jonghe
cinéma
La nuit est sans issue
Avec Night Moves, son cinquième long métrage en vingt ans, l’américaine Kelly Reichardt approfondit le singulier sillon que dessine son cinéma dans le paysage contemporain. De facture tout aussi dépouillée que ses prédécesseurs, ce nouvel essai, tout en lorgnant du côté du thriller, illustre le goût prononcé de sa réalisatrice pour l’introspection…
par
Matthias De Jonghe
cinéma
Jack Kerouac et William S. Burroughs,
faux mouvement
Soixante-trois ans : c’est le temps qu’aura mis le premier roman estampillé beat pour atterrir sur les étals des librairies anglophones, en 2008. Quatre ans plus tard, Gallimard publie la traduction française de cet opus, rédigé à quatre mains par Kerouac et Burroughs plus d’une décennie avant la parution de Sur la…
par
Matthias De Jonghe
livres
David Vann,
le ventre de la baleine
S’il est vrai que les lieux s’accompagnent toujours d’une musique, alors, à en croire David Vann, celle de l’Alaska doit confiner au silence — non pas la placide quiétude de l’ataraxie, mais une funèbre stillness, une angoisse de flaque, la persistance d’un souffle mordant les êtres et les choses pour révéler par…
par
Matthias De Jonghe
livres